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Je n'ai jamais compris vraiment où se situait la limite ou je ne sais pas quoi qui sépare le sexe de l'amour ou qui les relie ou les compare ou les différencie, je ne comprends pas vraiment comment départager tout cela. Je ne comprends pas tout à fait comment des gens peuvent accumuler de multiples ou vachement nombreuses aventures d'un soir, surtout avec des gens qu'ils ne respectent pas. En même temps, je conçois qu'on peut aimer la liberté ressentie à ce moment (ayant tout de même vaguement expérimenté cela ...enfin), ou la simplicité de la chose: pouvoir apprécier du plaisir, simplement et sans questions chiantes de sentiments partagés ou non et etc et sans gêne vu que se calisser de la personne aide vraiement à se défaire de la peur d'être jugé négativement. Malgré que ce ne soit pas réellement déplaisant comme activité, il me semble qu'il y manque vraiment quelque chose et que me semble que ça peut être légèrement frustrant....mais je suis une romantique idéaliste qui ne rêve que de tomber amoureuse donc mon point de vue est nécessairement biasé... mais quand même... en tout cas je me comprends dans ma tête même si je ne sais pas comment expliquer cela.

Parfois, je me dis que nous avons forcément un but dans la vie. Je ne connais pas encore le mien. Mais parfois, je me dis que la vie n'est peut-être qu'un rêve. Et que je n'existe pas vraiement en tant que moi. Mais parfois, je me dis que le fait que je me rapelle de presque tous mes rêves jusqu'a présent peut vouloir dire quelque chose. Mes rêves tournent en moi, dansent et virvoltent dans ma mémoire, se fondant à mes supposés vrais souvenirs esayant de me transformer en tourbillon coloré. DEs univers entiers habitent mes souvenirs. Je trouve sa triste qu'ils n'existent probablement pas pour plein de gens, à moins que d'autres les visitent aussi dans leur rêves ou que ces endroits existent ailleurs dans l'infini. En tout cas, alors parfois je me dis que peut-être c'est quelque chose qui pourrait être mon but dans la vie; partager ces univers au lieu de les garder jalousement pour moi seule.

J'ai envie de hurler à l'univers!!! De crier qui je suis ... mais je ne sais pas qui je suis. J'ai envie de lacèrer l'interieur de mon corps pour en emmerger. Je veux déchirer la toile de la réalité, défaire et détruire la pellicule qui retiennent ensemble les non-sens. J'ai envie que tout tombe en poussière en tintant comme du verre brisé. Et revienne. J'ai besoin de tous les yeux tournés vers moi, invisible mais destructrice je veux être une tempête. Du vent en furie, de l'air enragé.

Je me disais l'autre jour que la beauté était vraiment difficile à comprendre. La notion de beauté normative, me semblait, plus j'y pensait, totalement absurde. Elle n'est, ni fixe dans le temps ni dans le monde puisque les caractéristiques qui sont reliées au modèles-types de beauté changent selon les époques et selon les pays. Elle n'est même pas perçue de la même façon chez des individus provenant de la même culture, de la même époque, du même millieu... La façon que l'apparence physique des gens est perçue par les autres dépend, de plus, de d'autres facteurs n'ayant pas vraiment de liens avec l'individu évalué comme des goûts personnels de l'évaluateurs par exemple....

Une hypothèse que je me suis faite, pendant que je voyageais en métro (arrg je passe ma vie dans le métro on dirait... fin de la parenthèse non pertinente) c'est que que les traits, signes de beautés pour une société est en fait une transpositions physiques des caractéristiques psychogique, des talents, des aptitudes, etc. des choses qui sont recherchées chez les individus dans cette société par une majorité de personnes ou par la société elle-même en tant qu'entité.... mais puisque certaines de ses choses ne sont pas réellement visibles, elles sont plutôt remplacé par un trait qui symboliquement le représente. Ensuite le modèle est popularisé par les médias, intégré par le peuple puis légèrement modifier alors que la population se l'approprit et repris ainsi modifié par les médias et le cycle recommence(c'est ainsi que les modèles peuvent changer avec les années).

Mais alors pourquoi ce n'est pas tout le monde qui trouvent les mêmes personnes belles? Je crois que chaque personnes préfèrent des caractéristques différentes car elles associent un sens différents à certains traits puisqu'ils ont des symboliques différentes car leurs parcours de vie qui créent leur imaginaire et leur mode d'association diffèrent et aussi qu,ils ont des besoins différents.

Tout cela pour dire que je ne crois plus désormais que certaines choses sont belles dans l'absolu car en abordant la sitiation de cette façon cela devient difficile, voire impossible. En tout cas ce n'est qu'un de mes délires habituels et je n'ai aucune preuves scientifiques pour appuyer cela et le tout manque un peu d'élaboration...mais bon c'est mon blogue et je marque ce qui me tente dessus. Et je conclus en écrivant dfjwealggkljshgsildhgiulrghslri.

J'aime la neige. J'aime le dire trop fort dans l'autobus au risque de faire honte à mes amis en ayant l'air folle. J'aime trotiner dans ce machin mou qui rend les probabilités de tomber nettement plus éléves. J'aime les tempêtes de neige car j'imagine dans ma tête que la Terre (oui je suis animiste) a, intentionnelement garroché ce truc froid sur nous, pour nous faire chier, pour nous rappeller que nous ne sommes que des humains, et rien de plus spécial que des humains. Elle rit. Elle rit en nous voyant pester en déneigant ces machins métalliques qui massacre son air, puisque certains humains préfèrent reposer leur derrière ( gros derrière souvent, étant donné le pourcentage d'humains obèses ou sur le joyeux cheminde l'obésité) en se rendant au lieu où ils reposeront toute la journée leur derrière devant une boîte carrée qui fait mal aux yeux et en retournant au lieu où ils se reposent le derrière devant une autre boîte carrée. Elle rit donc: «mouhahaha!!» Et donc, elle rit: «mouhahaha». Et: «Mouhahaha», elle rit donc. Et elle semble heureuse alors. Et puisque je l'aime bien je suis heureuse de la voir heureuse ainsi et de l'entendre rire. Et je n'ai pas d'engin métalliaque moi... je rit donc avec elle.. Mouhahahaha!!!!!!

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Alex, tu as des milliards de qualités...je t'adore beaucoup et tu le sais....Une seule chose m'agaçe un peu... Avec ton immense talent, mon terrible handicape m'apparait encore plus clairement. C'est tellement souffrant comme situation. Et c'est une situation qui ne semble que plus ou moins comprise par le commun des mortels.  C'est tellement exaspérant d'avoir une imagination débordante et très imagée, de faire des rêves incroyables et d'avoir plein d'idées originales mais d'être comdamner à ne pouvoir les partager qu,avec des mots. Des mots imprécis qui ne donne qu'une idée superficielle de ce qu'on voulait représenter, des choses qui auraient été si claires avec une image ou un dessin... Comme  si mon handicap en dessin n'était pas suffisant, je suis, bien sûr, née dénuée de tous talents littéraire. Donc, en plus de devoir tout expliquer  avec des tas de mots, je le fait d'une manière maladroite, avec, pour résultat, des idées, des images, merveilleuses qu'à mes yeux, puisque enfermées dans ma tête, mal comprises, interprêtés n'importe comment... C'est comme être dans un pays où on comprends la langue  mais n'étant pas capable de la parler on doit se résigner à pointer ce que l'on veut, on est totalement conscient que les gens ne comprennent rien et c'est frustrant!! Voilà la seule ombre à notre amitié...je me sens encore plus handicapée à tes côtés et je suis, oui je l'avoue, un peu jalouse de ton talent.. mais........ mais.... je t,adore pareil!! :)

Deux personnes couchés dans un lit. Un homme,une femme. Des jeunes. Ils sont heureux et dorment presque parce que c'est la  nuit et que la nuit ils dorment généralement, surtout l'homme car la femme, elle, elle fait n'importe quoi la nuit au lieu de dormir et à cause de ça elle est fatiguée le jour. Un téléphone sonne. Merde, elle n'a pas le goût de répondre. Elle attends espérant que quelqu'un d'autre répondre à sa place. Attente vaine. Elle sent l'homme protester en silence. Elle se résigne à décrocher. Elle répond: Allô?, la voix presque endormie. Une voix d'homme au bout du fil. Merde. Pourquoi il m'appelle maintenant lui?,  se demande-t-elle. Son coeur commence à battre trop vite, il ne doit pas savoir qui l'appelle...sinon...Est-ce qu'il arrive à entendre la voix au téléphone?  Elle s'apprête à sortir de la chambre pour ne pas qu'il entende sa conversation...merde elle est nue, elle ne peut pas sortir comme ça. Elle panique. Elle ne sait pas quoi faire. Elle les déteste tous deux. Pourquoi complique-t-ils ainsi sa vie? "Euh, je dors la, je te vois demain à la job" répond-t-elle à l'homme qui n'a toujours pas eu le temps de lui dire pourquoi il appelait car c'est une mauvaise fille. C'est une mauvaise fille qui a eu l'idée de couper court à la conversation pour que l'homme dans son lit ne se rende compte de rien. Et l'homme du teléphone, ahuri, racroche, surement après elle car elle le racroche si vite qu'elle ne l'a même pas salué. Et l'autre homme dans le lit, l'attends dans une froid silence.

-Qui t'appelait?          avec une froide et silencieuse colère dans sa voix neutre

-Euh mon boss...       avec hésitation et malaise

-Ah oui? à cette heure là?   avec ce même ton détestable

-Euh ben je sais pas trop il voulait surement que je rentre plus tôt mais sa me tentais pas donc jai trouvé un prétexte pour racrocher vite avant qu'il me le demande...               sans hésitations cette fois ... mais elle se dit intérieurement qu'elle n'est qu'un monstre

-Ah bon...   en donnant l'impression qu'il ne la croit pas du tout

.....

silence

SILENCE

SILENCE!!

SILENCE!!!

SILENCE!!!!

-D'accord...pense ce que tu veux...              agacement total... elle haït le silence

silence

La rage lui lacère l'intérieur . Elle haït les silences. Elle sait ce qu'il pense. Elle ne veut pas ça. La rage l'écorche. Elle souffre.

Elle fouille dans le tas de linge qui macule le plancher. Trouve un haut. Trouve un bas. Il est déchiré mais ça va. Sort de la chambre sans claquer la porte. Elle sort sur la pointe des pieds cette pièce obscure où il reste silencieux.

Dans la salle de bain elle a envie de fracasser le mirroir. Elle ne sait pas pourquoi. Mais elle ne le fait pas. Elle a encore autant mal. La rage la brule tout ce quelle veut c'est soulager la douleur . Des solutions lui passent par la tête. Se jetter devant le métro, rompre avec lui.... Est-ce qu'on peut vraiment se jetter devant le métro et mourrir...? Mais elle ne se pendrait jamais et n'a pas envie de prendre des médicament. Elle veut juste tuer cette douleur. Mmm régler le conflit est peut-être plus facile que mourir. Ou le laisser sinon...ces idées sont bien meilleure que la mort. Un but en tête, sa rage sa calme, la douleur s,efface. Elle retourne dans  la chambre. Le corps qui l'attire autant est la, dans le lit, mais avec en lui cet esprit  qui demeure silencieux, toujours silencieux pour la blesser.

-Tu sais ça me fait vraiment de la peine que tu ne me crois jamais.Que tu pense que je suis une saloppe (merde c'est vrai que je suis une saloppe) qui couche avec n,importe qui!!! Tu crois vraiment que je tromperais?? Tu sais ce que ça me fait quela personne que j'aime le plus au monde n'ait aucune confiance en moi??? Qu'elle ait une telle opinion de moi??? Tu sais ce que je ressens..

silence

silence

silence

La rage revient mais elle ne revient pas seule elle emmène un ami avec elle, le désespoir. Elle commence à ne plus trop savoir quoi faire... tout ce qu'elle veut c'est qu'il réagisse et que alors le problème se règle et qu,ils endorment. S'endorment heureux, dans les bras l'un de l'autre comme ils allaient le faire avant ce stupide appel.

-Tu veux rompre?        sur un ton pathétique

silence

silence

silence

silence

Elle souffre, elle le hais. Elle le haïs car son silence la blesse et elle a horreur de souffrir. Et bien, tant pis pour lui alors. Pfff, Tant pis pour lui!!!!!! Je ne vais pas le laisser me faire mal sans réagir, c'est la dernière fois qu'il me tue

-Tu n'as vraiment aucune confiance en moi hein?

silence silence

-Répond!!!!       elle s'imagine lui demander de s'habiller immédiatement et le crisser hors de chez elle, elle sourit ¸

-Est-ce que tu as le moindrement confiance en moi. Car un cum qui pense que je suis une saloppe et qui n'a aucunement confiance en moi ce n'est comme pas vraiment quelque chose que je recherche dans la vie...

-Est-ce que par hasard tu est en train de rompre?   sur un ton narcois avec des notes de méchanceté qui fusent sous un semblant d'indifférence

-Je veux juste que tu réponde à ma question.. tout dépend de ta réponse...         d'une voix égale malgré ses yeux qui mouille son visage mais dans l'obscurité de la chambre on ne voit rien donc c'est pas grave